Surnom: Cal Age: 31 ans Date et Lieu de Naissance: 18 Mars 1980 - Trikala, Grèce Lieu de résidence: Vancouver Nationnalité: Grecque Profession Spécialiste technologie goa'uld et asgard et bon connaisseur de la technologie ancienne. Compétences: Bon combattant, vif, instruit Faiblesses: Rageur, impulsif, borné Groupe:Scientifiques Relations: (Nom Prénom-Lien):
« HISTOIRE»
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TA VIE
Me noyer dans le vaste monde.
Le bâton taillé en pointe par Sean vola à travers l'air brûlant de Grèce. Atteint sa cible. Fut repoussé brutalement et alla s'écraser dans les herbes sèches.
« Non ! Non, pas comme ça Caleb ! Suit le mouvement, ne le bloque pas ! Imagine que ça soit une lance en fer de vingt kilos, tu te briserais les os avant d'avoir pu dire ouf ! Encore. »
Ahanant sous l'effort, le garçon passa sa main sur son front trempé de sueur et s'apprêta à recommencer. Il était là, du haut de ses quinze ans, a tenir une masse à piques terriblement lourde dans une main et à bondir sur le sol desséché de Trikala. Depuis des heures. mais Sean continuait, impitoyable. D'un geste fluide il attrapa un autre bâton et le lança d'un geste précis et rapide vers Caleb. Il contra l'attaque comme auparavant et capta le soupir de son père. Il fronça les sourcils, se campa sur ses jambes et fixa le bâton suivant avec détermination. Fais le. Un sourire étira une seconde les lèvres de Sean, aussi immatériel qu'un rêve. Il se déplaça d'un pas souple à gauche, son fils en fit un à droite, aussi agile et fluide que lui. Ils ne se lâchaient pas des yeux tournant comme deux fauves sur un cercle invisible que seuls leurs pieds entrainés dessinaient machinalement.
Sans crier gare, l'homme tira sur Caleb. Le bâton frappa sourdement contre la masse et alla s'écraser plus loin. Insatisfait, il avança encore et en lança un autre, puis un autre, et un autre encore. A bout de souffle, le garçon poussa un cri de rage et regarda le dernier bout de bois venir dans sa direction. Et le temps s'arrêta. Son cœur ralentit et ses battements devinrent profonds. Et brusquement, il sut exactement quand frapper et où frapper. Caleb détendit son bras au dernier moment, frôla le bord du bâton sans l'arrêter net, poursuivit son mouvement et dans un geste d'une rapidité inhumaine il l'envoya continuer sa course plus loin. Dans un bruit mat, le bois se ficha dans le bois. Le bâton dans l'olivier. Le souffle court, le garçon regarda une seconde son œuvre. Bon sang, comment avait-il pu... La lame siffla. Prenant une grand bouffée d'air, il pencha la tête en arrière instinctivement et évita la courbe meurtrière du poignard que son père maniait avec tant de grâce. Sean s'immobilisa, le visage impassible et les yeux pétillants d'une fierté sans pareille.
« Tu as réussi... » lâcha-t-il dans un souffle. Il se reprit et rengaina son arme. « J'aurais pu te tuer une bonne dizaine de fois, ne lâche jamais des yeux celui qui t'attaque. Tout ce qui t'importait c'était ton triomphe, tu aurais pu y perdre la vie. N'oublie pas, que même avec ces armes anciennes tu dois savoir te battre et surtout, que la modestie... » « ...est le seul éclat qu'il soit permis d'ajouter à la gloire. Oui papa. Je sais. » finit Caleb. « Non tu ne sais pas jeune coq ! » il donna une petite tape affectueuse derrière la tête de son fils. « Les épreuves de la vie n'ont aucune pitié pour les faibles et ceux qui se croient plus forts que les autres. » « Tu en parles comme s'il était mauvais de vivre. N'est ce pas toi qui parcourait le monde lorsque j'étais tout bébé, laissant maman seule, uniquement pour un pays dont la vanité est sans pareil... » « Ils n'est pas mauvais de vivre, certes. Mais dehors, le monde et les gens qui t'entoure ne seront pas tous comme ta mère et moi. Je sais que j'ai fait des erreurs par le passé et je répare toujours mes tords mais toi, tu ne dois pas faire les mêmes erreurs. Tu dois savoir te battre pour éviter l'armée et vivre ta vie comme tout autre homme. » « Oui, papa. Quand verrais-je maman ? Elle me manque tellement.. Pourquoi ne me rend-t-elle jamais visite ? A-t-elle.. honte de moi ? » « Non fils, je suis sur qu'au fond d'elle même et telle que je la connais, Ether est fière de toi. Mais le montrer serait aussi dangereux pour elle que pour toi ! Ne sois pas trop impatient. Quand le jour viendra elle te rendra visite. Et tu seras prêt. Crois moi. »
Et sur ces mots il dégaina de nouveau son poignard et recommença l'entrainement.
Chaleur. Étouffante. A côté de lui le souffle sourd et uni d'une trentaine d'hommes brouillaient ses sens et faisaient vibrer ses veines. Et comme eux, il respirait. Ensembles. C'était toujours ainsi, ils avaient beau être innombrables il n'existait pas plus parfaite cohésion que celle de scientifiques lors d'une grande découverte. Rigueur et passion oblige. Un ordre tomba, sec et indiscutable. Caleb plaça son sac sur les épaules, ses yeux d'ambre dévisageant le paysage désertique devant eux. La tension monta immédiatement chez les civils. On avait repéré un grand groupe de jaffas dans les plaines de cette planète ces derniers jours. Certains disaient qu'il étaient des centaines, envoyés par Anubis lui même, et que des unacs couraient après eux pour les empêcher de ralentir. C'était pour ça qu'ils avaient fait autant de chemin en si peu de temps. Venus d'on ne sait vraiment où, ils tuaient et pillaient les villages, évitaient les grandes villes et avaient toujours mit en déroute les quelques soldats des cités. La colère grondait dans la tête de Caleb. La colère et la haine. Le seul autre sentiment que connaissait en cet instant Cal, c'était la vengeance. Peut lui importait de mourir ici, tout ce qu'il voulait c'était en emporter le plus possible avec lui. Son voisin capta la colère froide qui animait ses yeux. Grimaçant, il lui donna un coup de coude et Caleb sembla revenir à lui. S'il commençait à penser à ça maintenant il ne serait pas capable de se maîtriser. Et un seul maillon faible dans l'équipe pouvait mener toute leur mission à sa perte. Un cri d'alerte retentit sur la gauche et enfin le jeune scientifique les vit. Sentit sa soif de sang lui monter à la tête et se fit violence pour ne pas bouger. Se protégeant derrière la dizaine de militaires présents ainsi que les autres civils. Il attendit l'impact. Qui ne tarda pas à venir. Ils virent les premiers jaffas tomber, la salve de balles parfaitement synchrone ayant fait son oeuvre. Le sang giclait. Fort. Encore et encore. Jusqu'à ce que les derniers jaffas, les forces amoindris, tentent de s'enfuir en courant. Pas un ne fut épargné.
« Et une armée de vaincue, une. A qui la suite ? » clama haut et fort Cal, déclenchant tout autour de lui une vague de sourires victorieux. Des éclats de rires joyeux finirent par les remplacer et une silhouette familière s'approcha de lui. « Une chose est sur, cher Cal, peux nombreux sont ceux qui auraient la langue aussi bien pendue que toi ! » « Parles pour toi, Anaïs. N'es-tu pas de celles qui préfèrent les crocs des mots plutôt que la barbarie d'une balle ? » « Tu serais surpris chéri... » renchérit l'autre en souriant doucement. « Surprend moi ! »
Et dans un éclat de rire sauvage elle le repoussa, sortit les poings, un sourire carnassier aux lèvres. Se mettant instinctivement en position de combat, surprit par la vivacité de la jeune femme, Anaïs se rendit compte que Caleb n'attendait que cela. Il avait obtenu ce qu'il voulait d'elle, un petit sourire narquois apparaissant sur son visage.
« Assez ! Caleb, Anaïs, puisque l'énergie vous brûle encore les veines, occupez vous de préparer le bivouac. Demain nous reprendrons le chemin du SGC mais ce soir, nous campons. »
Campé sur ses jambes, au moins aussi musclé qu'un champion et plus fort qu'un bœuf, la lueur amusée qui éclairait les yeux du colonel Milt ne trompa personne. Inclinant légèrement la tête avec une soupir d'exaspération totalement feint, Anaïs donna un coup de coude à Caleb qui avait gardé son sourire narquois et toisait presque insolemment le militaire qui ne faisait que les houspiller, eux les ôh combien grosses têtes de l'équipe depuis le début de la mission. Puis, sans faire de commentaires il suivit son amie qui commençait déjà à monter les tentes. Milt leva les yeux au ciel en soupirant et tourna la tête vers les autres soldats et son vieil accolyte, Ivan, lui aussi civil, qui avait observé la scène avec attention. Ah les jeunes !
Atlantis. Il en avait tellement entendu parler. Entre les légendes présentes dans les ouvrages et les nombreuses recherches du Docteur Jackson, Caleb n'avait que pu apprécier cette fabuleuse cité. ... Marchant paisiblement dans la forêt bordant cheyenne mountain, il réfléchissait à la proposition des hauts chefs du programme « porte des étoiles » Brusquement, l'homme vêtu de sombre sortit de sa cachette et se planta devant Cal, une arme entre les mains. Perturbé par le sourire carnassier qui commença à éclairer les yeux de sa future victime, il rassura sa prise sur la garde de son pistolet, tenta de se donner un air menaçant.
« Tes infos sur ce lieu mon petit, ou tu ne rentreras plus jamais chez ta chère et tendre mère. » « Qui vous dit que j'ai une mère ? Qui vous dit qu'elle a une maison, et que j'y suis invité ? Qui vous dit que j'ai des informations quelconques ? Et qui vous dit que... » il sourit en grand. « .. la simple idée de me battre face à un apprenti voleur me terrifie jusqu'à me glacer l'échine ? » « Je.. » commença l'homme en reculant instinctivement. « Qui te dis que tu te tiens face à un simple fils de bonne famille, sais-tu que tu trouves non loin d'un camp militaire avec hommes et femmes entrainés à tuer ? Ami, je vais te faire une confidence... » il s'approcha, une lueur folle dans les yeux. « ... mourir loin d'ici serait la plus belle mort à mes yeux, et j'espère - oh oui j'espère - qu'elle ne tardera pas à venir me prendre... L'autre monde doit être merveilleux à voir... Mais que dirais-tu d'aller l'admirer avant moi ? »
Dans un couinement pitoyable, l'homme fit demi tour et s'en alla en courant. Cal pencha la tête sur le côté, une moue amusée aux lèvres. Les gangsters ne sont plus ce qu'ils étaient ! L'idée de le poursuivre lui effleura l'esprit mais les ennuis seraient alors tombés rapidement et sa chère et tendre Anaïs l'attendait pour dans une petite heure. Laissant ses poings dans ses poches, il se jura de faire le rapport de ce moment au général. Tout fou devant être pris un temps soit peu au sérieux, il se promit de rester suspicieux.
Il venait de prendre sa décision. Caressant une dernière fois le visage de son épouse endormie. Il prit son bagage, les clés dans le pot et sortit doucement. Se retournant une dernière fois :
« Fidélité est mon mot. Je te jure de revenir vite mon amour, attends-moi. » murmura-t-il calmement.
Lentement, il grimpa dans son véhicule et conduisit en direction de la colline. Demain serait un jour nouveau. Sa soif de connaissance et celle, de vengeance, encore innassouvi il n'avait pu refuser la proposition de ses supérieurs. Atteignant l'étage voulu, Cal rentra dans le vestiaire où d'autres comme lui se changeait. Rapidement il se vétit et rapidement, rejoignit la porte qui s'activait. Partir à l'aventure. Partir vers l'inconnu. Son rêve réalisé.
TON CARACTERE
♣ Caleb n’est pas franchement un homme qu’on cerne au premier abord. Ca a même tendance à en agacer certains. N’y a-t-il pas plus frustrant que d’avoir en face de soi un homme sans savoir ce qu’il souhaite réellement ? Et pourtant Cal sait toujours ce qu’il veut. Grec déterminé, quand il a quelque chose en tête, il est impossible de lui en faire sortir. Toute son enfance, il a appris la rigueur et surtout à se donner les moyens d’obtenir ce que l’on veut. Borné comme un âne, même si Caleb est dans le mauvais chemin, il ne le reconnaitra pas, il foncera. Cet aspect est très utile à son travail, faisant de lui digne héritier du travail des grands hommes d'autrfois. C’est un scientifique réputé pour avoir initié bon nombre aux autres technologies. Il est appliqué, il aime ce qui est bien fait et n’a pas de place pour l’à peu près. C’est pourquoi il se montre souvent autoritaire. Caleb avoue qu’il aime donner des ordres et sentir qu’on lui obéit. Si ce défaut peut avoir quelques répercussions sur sa vie sociale, il n’en tient jamais compte. On pourrait croire qu'il représente le citoyen civilisé et docile que toute ville s'astreint à garder et ce n'est pas totalement faux. Si toutefois Caleb n'est pas en accord avec tous les choix du gouvernement, Sean lui a malheureusement transmis la capacité à se taire face aux grandes institutions au prix de sa liberté de dire tout haut ce que les badauds murmurent tout bas. Un autre aspect principal qui caractérise l’homme est son dynamisme. L'homme jette son trop-plein d'énergie dans une impatience qui a le don de rapidement irriter. Il fatigue les gens mais il l'assume parfaitement. Il ne tient pas en place et trouve toujours quelque chose à faire au sein de ce programme. D’un naturel plutôt sociable, il aime être accompagné par une ou plusieurs de ses connaissances mais il accepte plutôt la solitude. Assez indépendant, il déteste être au crochet d’une quelconque personne. Il fait partie des chanceux qui sont appelés hommes libres, il en profite de toute son âme. Avant d’accorder sa confiance, Caleb parait toujours quelqu’un de méfiant. Il scrute, décrypte, cerne avant de daigner accorder de son temps. Il est rancunier et n’aimerait pas s’entourer d’habitants qui n’en valent pas la peine. On lui a inculqué des valeurs sûres et bien arrêtées sur lesquelles il ne compte pas tirer un trait. Si une attitude ou une personnalité ne lui plait pas, Caleb n’hésitera pas à le faire remarquer. Une qualité ou un défaut ? En effet, il est très expressif. Il n’arrive que rarement à contenir ses émotions ou ses sentiments. Sa franchise en agace plus d’un mais sa subtilité est d’autant plus énervante. Si toutefois Cal parvient à se taire, son regard parle alors pour lui. Nul doute que vous saurez tôt ou tard ce qu’il pense de vous. Quand on parvient à s’en faire un ami, Caleb devient le plus loyal des hommes. Combattant dans l’âme, il a un certain sens du sacrifice. Il donnerait beaucoup s’il estime que quelqu’un le mérite. Impulsif, il est capable de faire quelque chose de fou sur le moment. En général, il ne réfléchit pas vraiment quitte à ce que ça lui desserve, il préfère préserver sa spontanéité. Enfin Caleb peut se vanter d’être de bonne compagnie. Charmeur, il aime la compagnie des jolies aliennes bien qu’il soit réellement attaché et fidèle à sa belle femme, Anaïs. Toujours souriant, assez rieur, il profite de la vie comme s’il n’y aurait pas de lendemain.
« VOUS» .
DIS NOUS
Multi-comptes?: Elena Hudson (Un homme pour changer mais soyons assuré que je sois une fille ^^, désolée pour la présentation ,je me suis moins appliquée que l'autre. Possibilité d'incohérence malgré ma relecture, dites-le surtout ...) Avez-vous lu le règlement?: Yep, Sir ! Code: Validoch by Liz Comment avez-vous découvert le forum?: Même chose que pour EH. Les points positifs du forum: Idem
Emily-Rose Steward Petite mathématicienne en herbe
Messages : 208 Date d'inscription : 30/10/2010
Sujet: Re: Caleb Jale Mar 5 Avr - 23:38
(re) Bienvenue parmi nous! Amuse toi bien avec ce nouveau personnage! A trés vite! Mily!
Dean Parker Admin | Astrophysicien
Messages : 158 Date d'inscription : 21/10/2010 Age : 29 Localisation : Atlantis / Galaxie de Pégase
Sujet: Re: Caleb Jale Mer 6 Avr - 16:47
Re-Bienvenue Miss !!!
Exellente présentation, comme toujours!
Je te valide!
Bon RP parmi nous!
Caleb Jale
Messages : 10 Date d'inscription : 05/04/2011
Sujet: Re: Caleb Jale Mer 6 Avr - 17:58
Merci ^^
Elizabeth Weir ★ AN AMERICAN ETHNOLOGIST LEADER ★
Messages : 169 Date d'inscription : 19/11/2010 Age : 37 Localisation : Sur Atlantis
Sujet: Re: Caleb Jale Mer 6 Avr - 22:18
Re bienvenue parmi nous et un bon jeu ^^
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Sujet: Re: Caleb Jale
Caleb Jale
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